Un agriculteur a provoqué un véritable malaise sur CNews en dénonçant la réalité de la crise agricole en France. Lors d’un débat intense, il a mis en lumière l’augmentation des prix du GNR, la disparition quotidienne d’exploitations agricoles et l’impact dévastateur des accords de libre-échange sur les producteurs locaux.
L’agriculteur, visiblement en détresse, a affirmé que deux agriculteurs meurent chaque jour sous le poids d’une politique agricole jugée inacceptable. Il a accusé le gouvernement de trahir les agriculteurs en signant des accords qui favorisent l’importation de produits étrangers au détriment de la production locale.
“Nous sommes poussés à bout”, a-t-il déclaré, évoquant des augmentations de salaires pour les députés tandis que les agriculteurs luttent pour survivre. Il a dénoncé la “mafia” qui, selon lui, contrôle le secteur des biocarburants, tout en précisant que les agriculteurs français sont contraints de produire des biocarburants au lieu de nourrir la population.

Avec une colère palpable, il a mis en avant la nécessité de sortir de l’Union européenne, affirmant que c’était la seule solution pour sauver l’agriculture française. “Nous sommes trahis par notre propre camp”, a-t-il martelé, appelant à une mobilisation massive des agriculteurs pour faire entendre leur voix.

Les tensions montent alors que la détresse des agriculteurs se transforme en colère et en frustration. La question de la souveraineté alimentaire est au cœur des préoccupations, alors que les agriculteurs se sentent abandonnés par un gouvernement qui ne semble pas comprendre l’ampleur de la crise.

Les mots de cet agriculteur résonnent comme un cri d’alarme : “Il ne reste plus de paysans en France si cela continue.” La situation est critique et la colère gronde, alors que les agriculteurs se préparent à agir pour défendre leur avenir et celui de l’agriculture française.
