Un incroyable séisme secoue la France, suscitant l’inquiétude et la colère des agriculteurs face à des décisions administratives jugées inhumaines. Floriant Philippo, président de l’association Les Patriotes, dénonce la gestion technocratique des crises sanitaires, notamment l’abattage systématique des vaches atteintes de dermatoses modulaires, provoquant une révolte grandissante.
Lors d’une interview explosive, Philippo a révélé que de nombreux vétérinaires avaient été réduits au silence par l’Ordre national des vétérinaires, qui a réprimandé ceux qui critiquaient la nécessité d’abattre les animaux. Ces vétérinaires, muselés, ont exprimé leur désarroi face à un système qui privilégie des critères technocratiques au détriment de la réalité sanitaire.
La crise actuelle est exacerbée par des décisions prises à Bruxelles, où les technocrates imposent des protocoles qui ignorent les spécificités françaises. Philippo a souligné que la contagiosité de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) est largement exagérée, comparée à d’autres maladies, ce qui entraîne des destructions économiques et psychologiques pour les agriculteurs.
Les paysans, déjà à bout, commencent à se révolter. Philippo a évoqué une analogie troublante avec la gestion de la pandémie de Covid-19, où les médecins ont également été soumis à des pressions similaires. Ce climat de peur et de contrôle soulève des questions sur l’humanité des décisions administratives.
Les conséquences de cette gestion technocratique sont alarmantes. Les agriculteurs se battent pour leur survie, tandis que les consommateurs doivent faire face à des choix difficiles. Philippo appelle à une prise de conscience collective et à un soutien accru envers les produits français, soulignant que la bataille pour l’agriculture nationale est aussi une lutte pour l’identité et la souveraineté de la France.
La situation est d’autant plus critique alors que les accords de libre-échange continuent de menacer la production locale. Les agriculteurs français, déjà en difficulté, voient leurs produits relégués au second plan face à des importations moins chères, souvent de moindre qualité.
Philippo a averti que si les consommateurs ne changent pas leurs habitudes et ne privilégient pas les produits français, l’agriculture locale risque de disparaître. Le message est clair : la solidarité nationale est essentielle pour sauver l’agriculture française.
Dans un contexte où les tensions montent, il est crucial que les voix des agriculteurs soient entendues. La révolte paysanne, qui a déjà pris de l’ampleur, pourrait bien marquer un tournant dans la lutte pour la souveraineté alimentaire. Les événements à venir seront déterminants pour l’avenir de l’agriculture en France.
Alors que la colère gronde, une mobilisation massive s’annonce. Les agriculteurs et leurs alliés doivent se rassembler pour faire entendre leurs revendications et défendre leur métier. La France doit se réveiller et agir avant qu’il ne soit trop tard.
