MARION MARÉCHAL dénonce avec force la montée dangereuse de l’islam radical suite à l’attaque meurtrière en Australie ciblant la communauté juive, réclamant une rupture radicale avec la politique migratoire actuelle face à une menace djihadiste qui frappe désormais à l’échelle mondiale, y compris en France.
Un attentat terroriste terrible a frappé l’Australie lors des célébrations de Hanoucca sur une plage, faisant quinze morts et une quarantaine de blessés, dont un jeune Français juif abattu. Cet acte barbare rappelle l’urgence d’une vigilance accrue contre l’antisémitisme et le djihadisme international.
Marion Maréchal souligne que le djihadisme est une menace planétaire avec plus de 56 000 décès en dix ans et 305 morts en France, une mouvance qui ne cesse de désigner l’Occident comme cible à éliminer ou à convertir de force. Elle met en garde contre les conséquences d’une immigration mal contrôlée accueillant des populations susceptibles de radicalisation.
La politique migratoire australienne, très permissive avec plus de 210 000 places permanentes enfin accordées sur un an, dont une part significative de visas temporaires, offre un terreau favorable aux islamistes masqués parmi les migrants. La France n’est pas en reste, avec environ 142 000 personnes affichant des sympathies djihadistes.
Les chiffres dévoilés par des études sérieuses confirment que 3% des musulmans adultes en France sympathiseraient avec le djihadisme, soit un potentiel “djihad en puissance” de 120 000 individus. Cette réalité inacceptable appelle selon Marion Maréchal à un durcissement radical des politiques sécuritaires et migratoires.
Elle dénonce aussi le laxisme français face aux djihadistes connus, citant l’exemple des terroristes australiens liés à Daesh dotés de la nationalité. Selon elle, ceux fichés “S” doivent être surveillés sans faille, voire déchus de leur nationalité si binationaux, afin d’empêcher d’autres actes meurtriers sur le sol national.
Marion Maréchal appelle à appliquer le principe de précaution à la lutte antiterroriste, tout comme on le fait avec les enjeux écologiques. Cette perspective de guerre de civilisation exige selon elle un moratoire sur l’immigration et une gestion extrême des risques liés aux populations venues de pays à risque.
Elle met en lumière les difficultés d’intégration par le communautarisme croissant, avec des quartiers séparés où les populations ne se mélangent plus, formant des viviers de recrutement djihadiste facilement exploités par des influences étrangères telles que le financement occulté venu de pays du Golfe.

Un fait marquant est le courage exceptionnel d’Amed Alhamed, vendeur de fruits musulman, blessé en intervenant face au terroriste australien. Ce geste héroïque souligne la complexité du combat contre l’extrémisme, où coexistence d’actes héroïques et menace djihadiste extrême se croisent sur le terrain.
La situation sécuritaire alarmante impose un durcissement concret des mesures : renforcement des protections des lieux de culte juifs et chrétiens, qui subissent une recrudescence dramatique d’actes antireligieux. En France, les agressions contre chrétiens ont même doublé en 2024, reflétant une atmosphère de tension extrême.
Marion Maréchal dénonce une dérive sécuritaire “ultra-policière” qui s’installe à mesure que les marchés de Noël deviennent des zones militarisées. Elle appelle cependant à s’attaquer à la racine du problème : la politique migratoire laxiste, insuffisance du fichage, refus de mesures fortes à l’encontre des djihadistes.
Elle insiste sur la responsabilité politique et morale de protéger les populations françaises face à cette menace tangible. Selon elle, ignorer les signes d’embrigadement est un risque maximal pour la sécurité nationale et impose la mise en œuvre urgente de mesures législatives, administratives et sécuritaires fortes.
Enfin, elle met en garde contre les conséquences d’une inertie politique à l’heure où la guerre de civilisation se manifeste en actes meurtriers. La France doit reconquérir son contrôle sur l’immigration, améliorer son renseignement et décréter des lois permettant de révoquer la nationalité des djihadistes binationaux.
Cet appel passionné de Marion Maréchal incite à une prise de conscience collective immédiate face à un djihad radical qui ne souffre aucune faiblesse. Le temps presse pour la France et l’Occident qui doivent faire face à un ennemi déclarant vouloir leur destruction totale ou leur conversion forcée.

La France se trouve à un carrefour crucial de son histoire sécuritaire et identitaire. Ignorer les signaux d’alerte serait condamner ses citoyens à vivre sous le joug d’une violence islamiste radicale grandissante. Marion Maréchal demande en urgence une politique de rupture radicale avec le statu quo actuel.
Cette dramatique attaque australienne n’est pas un incident isolé. C’est une histoire mondiale qui a des répercussions directes en Europe et plus particulièrement en France. La sécurité de tous est aujourd’hui menacée. La réponse doit être rapide, ferme et sans concession face à l’islam radical.
Marion Maréchal rappelle que la lutte contre le terrorisme est aussi une bataille culturelle et civilisationnelle où les tensions sociales et identitaires exacerbées par le communautarisme constituent des incubateurs dangereux de radicalisation violente.
Le rapport alarmant sur la montée des actes antisémites et anti-chrétiens en France incite à renforcer la protection des minorités religieuses. La France doit impérativement réagir face au déclin du vivre-ensemble et à la montée des haine religieuses exploitées par les djihadistes.
Les mesures annoncées par le ministre de l’Intérieur face à la crispation sécuritaire sont nécessaires mais loin d’être suffisantes. Marion Maréchal réclame plus qu’un renforcement ponctuel : une transformation complète des lois et pratiques migratoires pour couper court à toute nouvelle menace djihadiste.
Tout retard dans la reforme laissera un terrain toujours fertile aux discours extrémistes et aux actes terroristes. Le plan de lutte contre l’extension des courants islamistes djihadistes doit impérativement intégrer des mesures administratives, judiciaires et sociales beaucoup plus strictes.

Face à cette crise, les paroles de Marion Maréchal sonnent comme un cri d’alerte : l’ennemi islamiste est à la porte, agissant non seulement par la violence mais aussi par la subversion des institutions et la manipulation des populations vulnérables.
La France, tout comme l’Australie, doit désormais faire face à des choix fondamentaux concernant sa politique d’immigration, son modèle d’intégration, et sa défense contre une menace terroriste grandissante qui ne connaît ni frontières ni retenues.
Ce discours incisif ne laisse pas de place à l’ambiguïté. La priorité absolue doit être la sécurité des citoyens et la protection des valeurs républicaines, en mettant fin à tout laxisme et en rompant avec les politiques électoralistes qui mettent en danger la nation.
En pleine crise sécuritaire, le devoir des responsables politiques est clair : agir vite, mettre en place des mesures radicales de contrôle migratoire, de surveillance préventive et de sanctions lourdes à l’encontre des individus radicalisés pour éviter de nouveaux massacres.
Cet appel au sursaut national invite tous les acteurs à s’unir face à un péril islamiste qui ne se limite pas à des actes isolés mais constitue une menace globale et stratégique pour la paix sociale et la cohésion de la société française.
La mobilisation des forces de sécurité, des institutions judiciaires et des décideurs politiques doit répondre à cet impératif de sécurité sanitaire de la société contre l’idéologie djihadiste radicale, sous peine de voir se multiplier les tragédies humaines et sociales.
MARION MARÉCHAL offre une analyse crue et incontestable des enjeux actuels. Son message est clair : sans réaction ferme dès maintenant, la France risque de subir une escalade terroriste et une déstabilisation difficilement réversibles. L’alerte est donnée, la balle est dans le camp des autorités.