Biyouna, icône emblématique de la scène algérienne et figure incontournable du Maghreb, est décédée à l’âge de 73 ans. Sa mort, survenue dans des circonstances mystérieuses, a choqué la France entière.
Les derniers instants de Biyouna sont enveloppés d’une aura de secret. Dans une chambre silencieuse de l’hôpital de Bennyesous, elle aurait murmuré un nom, un détail troublant qui n’apparaît dans aucun rapport officiel. Dans sa main, une phrase inachevée : “Ceux qui rient ne sont pas toujours. Personne ne saura jamais la fin.”
Née le 13 septembre 1952 à Bellecourt, Biyouna a commencé sa carrière dès son adolescence, captivant le public avec ses performances dans les cabarets d’Alger. Sa voix, son humour et son franc-parler ont fait d’elle une artiste adorée, mais derrière cette façade flamboyante se cachait une solitude profonde.
Au fil des ans, la diva a vu sa santé décliner. Isolée, elle a choisi de s’éloigner des projecteurs. Les rumeurs de maladie circulaient, mais personne ne savait à quel point son état était grave. Ses proches témoignent d’une femme de plus en plus marquée par des blessures intérieures, luttant contre des démons invisibles.
Les derniers mois de sa vie ont été marqués par une transformation. Elle a accepté l’aide, mais a continué à dissimuler sa souffrance. Les infirmiers décrivent une femme fière, mais fatiguée, qui tentait de sourire même dans la douleur.

La nuit précédant sa mort, un silence inhabituel a envahi la chambre. Une infirmière a entendu un murmure, un nom prononcé à peine audible. Ce détail, jamais consigné, soulève des questions sur ce qu’elle a réellement ressenti dans ses derniers instants.
Biyouna a voulu partir comme elle avait vécu : libre et indomptable. Son départ laisse un vide immense, mais aussi un mystère qui interpelle. Que s’est-il vraiment passé dans l’intimité de ses derniers jours ?
La France pleure une artiste qui a marqué les esprits, mais la vérité sur sa mort reste à dévoiler. Son histoire, entre éclats de rire et larmes silencieuses, nous rappelle que même les voix les plus fortes portent des silences fragiles.
Biyouna, symbole de liberté et de créativité, s’est éteinte, mais son héritage perdurera dans la mémoire de ceux qui l’ont aimée. Sa vie et sa mort restent un témoignage poignant des luttes invisibles que chacun peut porter.