CHARLOTTE D’ORNELLAS s’attaque à KASSOVITZ pour ses propos anti-France.

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Charlotte d’Ornellas s’attaque violemment à Mathieu Kassovitz, accusant l’acteur de propager des propos anti-France lors d’une récente intervention. Dans une vidéo devenue virale, d’Ornellas dénonce l’aveuglement de Kassovitz face à la violence qui frappe le pays, affirmant que des enfants meurent chaque semaine à cause d’agressions au couteau. Elle met en lumière des chiffres alarmants : en 2024, la France a enregistré près de 10 400 agressions à l’arme blanche, soit environ 28 attaques par jour.

D’Ornellas remet en question les déclarations de Kassovitz selon lesquelles la France serait plus raciste que d’autres nations. Elle cite des études internationales pour soutenir son argument selon lequel le rejet des étrangers est plus prononcé dans des pays comme l’Inde ou l’Algérie. Elle insiste sur le fait que la France, loin d’être la nation la plus raciste, est en réalité l’un des pays les plus intégrés au monde.

La polémique s’intensifie alors que d’Ornellas accuse Kassovitz de déformer la réalité et de se complaire dans un discours qui divise plutôt que d’unir. Elle souligne l’angoisse croissante des Français face à la violence et à la dégradation de leur pays, en appelant à un débat ouvert sur ces questions brûlantes. “Les Français n’en peuvent plus”, déclare-t-elle, évoquant un sentiment d’impuissance face à une situation qu’elle juge alarmante.

Les tensions montent alors que d’Ornellas propose un face-à-face avec Kassovitz pour discuter de ces enjeux cruciaux. Elle critique la tendance actuelle à stigmatiser la France et ses citoyens, appelant à une prise de conscience collective sur la réalité des violences qui touchent le pays.

Cette confrontation entre deux figures publiques met en lumière des fractures profondes au sein de la société française, où les opinions divergent sur la question de l’immigration, du racisme et de la sécurité. Les mots de d’Ornellas résonnent comme un cri d’alarme, incitant à une réflexion urgente sur l’avenir de la France et la nécessité d’un dialogue constructif.