Poutine vient de porter un coup dévastateur à Macron et Ursula von der Leyen lors du sommet européen à Bruxelles. Les espoirs de dégel des avoirs russes gelés se sont effondrés, laissant les dirigeants européens humiliés. Cette défaite soulève des questions sur l’avenir de l’Union européenne et le financement de l’Ukraine.
Le sommet de Bruxelles, qui s’est tenu les 18 et 19 décembre, a révélé une fracture profonde au sein de l’Union européenne. Les tentatives de Macron et von der Leyen pour utiliser les avoirs russes gelés afin de soutenir l’Ukraine ont été catégoriquement rejetées. L’absence d’accord a mis en lumière l’inefficacité des stratégies européennes face à la pression russe.
La Belgique, sous la direction de son Premier ministre Bart de Wever, a mené une fronde contre cette initiative. De Wever a averti que le dégel des avoirs russes constituerait un vol au regard du droit international, et il a reçu un soutien massif de la population belge, qui rejette cette approche.
Les tensions ont atteint leur paroxysme lorsque la Russie a menacé de représailles si ses avoirs étaient confisqués. Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a qualifié cette manœuvre de violation flagrante du droit international, avertissant que cela aurait des conséquences graves pour l’Union européenne.
Le sommet a abouti à une décision inattendue : l’Union européenne a approuvé une aide de 90 milliards d’euros pour l’Ukraine, mais sans recourir aux actifs russes. Cela représente un échec retentissant pour Macron et von der Leyen, qui avaient misé sur cette stratégie pour financer l’effort de guerre ukrainien.

Macron, désormais contraint de renouer le dialogue avec Poutine, a reconnu l’impasse dans laquelle se trouve l’Europe. Cette situation souligne la fragilité des alliances au sein de l’UE et l’urgence d’une nouvelle stratégie face à la menace russe.
Les répercussions de cette humiliation pourraient être profondes, tant sur le plan politique qu’économique. La France, qui s’engage à hauteur de 16 à 17 milliards d’euros pour l’Ukraine, voit ses finances publiques mises à l’épreuve alors que les citoyens sont appelés à faire des sacrifices.
La question demeure : comment l’Union européenne va-t-elle naviguer dans cette crise ? Les tensions entre les États membres pourraient s’intensifier, et la nécessité d’une réponse unie face à la Russie n’a jamais été aussi pressante. Les événements à Bruxelles pourraient redéfinir l’avenir de l’UE et son rôle sur la scène mondiale.
Les citoyens européens doivent rester vigilants alors que les conséquences de ces décisions se font sentir. La lutte pour la paix et la souveraineté continue, et les dirigeants européens doivent maintenant faire preuve d’une détermination renouvelée pour éviter un effondrement total de l’unité européenne.
