Un professeur dénonce avec force les menaces de mort qu’il subit depuis deux ans, et interpelle directement Jordane Bardella et les autorités sur l’inaction face à ce fléau insupportable qui gangrène les écoles françaises. Le témoignage glaçant éclaire une réalité alarmante : enseigner devient un combat de tous les instants.
« J’ai été victime de menaces de mort », affirme cet enseignant des lycées professionnels, qui partage son calvaire au micro, évoquant les messages haineux reçus avant l’anniversaire dramatique de Samuel Paty. Le danger plane toujours au-dessus de lui et de sa famille, notamment ses enfants, ciblés dans ces messages abominables.
Malgré un dépôt de plainte effectué il y a deux ans, aucune avancée tangible n’est à signaler. La lenteur administrative et judiciaire fait peser une ombre lourde sur la sécurité des enseignants. « En zone gendarmerie, la plainte a été transmise à la police, et je ne sais même pas si cet individu a été entendu », déplore-t-il, illustrant l’inertie institutionnelle.
Ce professeur explique avec clarté la distinction fondamentale entre les rôles du ministère de l’Intérieur, responsable de la sécurité publique, et celui de la Justice, chargé de l’application des lois. Pourtant, malgré cette collaboration censée garantir la protection des citoyens, les enseignants se sentent abandonnés face à la menace.
La tension est palpable parmi le corps enseignant. « Nous allons nous réunir pour discuter des mesures à prendre », confie-t-il, tout en avouant l’angoisse grandissante à l’idée de se rendre en classe. Le visage des collègues, tendu, trahit une appréhension sourde qui ne cesse de monter.
Le climat scolaire est aujourd’hui miné par la peur et la violence. Selon un article récent, plus de 500 incidents perturbateurs ont été recensés lors de l’hommage à Dominique Bernard, professeur assassiné dans un contexte terroriste, révélant une fracturation sociale profonde au sein des écoles.
Cette situation n’est pas nouvelle. Depuis 1983, une dizaine de professeurs ont péri dans l’exercice de leur fonction. Mais la fréquence et la gravité des agressions augmentent dangereusement au fil des années, attestant d’un problème sociétal préoccupant et urgent à traiter.
Le professeur cite également le cas de Didier Le Maire, un autre enseignant qui a dû suspendre sa carrière face aux menaces persistantes liées à ses prises de position contre l’islamisme radical. Son ouvrage et ses interventions publiques ont mis en lumière une réalité que beaucoup préfèrent ignorer.

Loin d’être un phénomène isolé, ces violences illustrent un malaise profond, alimenté par des idéologies extrémistes et l’érosion des valeurs républicaines à l’école. Le silence et l’immobilisme des pouvoirs publics nourrissent un climat d’impunité qui menace la démocratie elle-même.
Le port-parole du Rassemblement National, Laurent Jacobelli, s’est également retrouvé au cœur d’une polémique lors d’un incident tendu avec un député de la majorité. Si le mot « rakaille » employé a enflammé le débat, cette controverse politique masque une réalité bien plus grave : la montée des tensions et des divisions dans la société.
Face à cette situation explosive, le sentiment d’urgence est incontournable. Les enseignants, premiers remparts de l’éducation et de la cohésion sociale, réclament des actes concrets et une mobilisation sans faille des autorités. Leur sécurité ne peut plus être sacrifiée sur l’autel de l’inaction.
Ce professeur interpelle donc Jordane Bardella et le gouvernement : quel plan d’action pour protéger effectivement les enseignants et leurs familles ? Comment garantir la sérénité dans les établissements scolaires quand la peur et la menace sont quotidiennes ?
La France doit briser le silence et regarder en face la violence qui gangrène son appareil éducatif. Il ne s’agit plus de débats stériles, mais d’une urgence nationale. La survie de l’école républicaine dépend de la capacité à agir vite et fort contre les menaces qui pèsent sur ses acteurs.
Ce témoignage poignant est un appel à la mobilisation générale. Les paroles doivent se traduire en mesures concrètes, pour que plus jamais un professeur ne doive craindre pour sa vie simplement parce qu’il fait son métier. Le temps de l’indifférence est révolu.

Pour l’heure, le constat est glaçant : deux ans que cette douleur s’accumule, deux ans que la justice n’a pas rendu de réponse. Cette inertie casse l’élan de ceux qui, chaque jour, transmettent le savoir à des jeunes parfois perdus dans la colère et la défiance.
L’école doit rester un sanctuaire de respect et d’apprentissage, exempt de la menace de la violence. L’État a la responsabilité indiscutable de garantir la sécurité des professeurs. Les paroles de réconfort ne suffisent plus face à la réalité du danger qui s’étend dans les classes.
Le destins tragiques de Samuel Paty et Dominique Bernard doivent servir d’avertissement. Il est urgent que la société française prenne conscience de cette dérive, et que la république déploie toute son arsenal pour protéger ceux qui éduquent demain.
Un combat est lancé. La voix de cet enseignant, portée par la détresse et le courage, doit résonner jusqu’aux plus hautes sphères du pouvoir. La France ne peut pas se permettre de perdre davantage de professeurs victimes de la haine.
La menace qui pèse sur les écoles et leurs personnels est un défi majeur pour l’avenir du pays. Chaque instant qui passe sans action enclenche un risque supplémentaire. Le gouvernement doit répondre présent, sans délai ni équivoque.
Ce cri d’alarme est une invitation à la vigilance et à la mobilisation collective. L’heure n’est plus à la division, mais à l’unité pour défendre la liberté d’enseigner et la sécurité des éducateurs. C’est une urgence qui concerne toute la nation.

L’enjeu est aussi celui d’une France apaisée, où l’école retrouve toute sa place. La violence et l’intolérance n’ont pas leur place dans ces murs sacrés. Le temps de la fermeté est arrivé, avant que le pire ne survienne à nouveau.
Un professeur menace de s’arrêter, craint pour sa vie et celle de ses enfants, interpelle la classe politique. C’est un signal d’alarme sévère, une fracture sociale béante qui doit être colmatée sans délai.
L’éducation est la clé de notre avenir. Protéger ceux qui la portent est une obligation morale et politique. Ce dossier brûlant demande une réponse immédiate et efficace, pour sauver l’école républicaine.
La France est à un tournant crucial. Ce témoignage poignant doit ouvrir les yeux de tous, législateurs comme citoyens. L’inaction ne peut plus être une option dans ce combat vital.
L’espoir demeure grâce à la mobilisation des enseignants et des familles qui refusent de se résigner. Leur courage doit être salué, soutenu, et surtout protégé.
L’heure est grave. La menace est réelle. L’État doit agir, vite, fort et sans compromis, pour assurer un avenir serein à ses éducateurs et à ses élèves.
C’est un appel à la France entière. Ensemble, il est possible de faire reculer la peur et restaurer la sécurité dans nos écoles. Le temps presse, la vie des enseignants en dépend.
