🔥 ALERTE CHOC : Michel Onfray explose la bulle macroniste en le réduisant à un misérable “sous-secrétaire” indigne de la France éternelle ! 😡

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Michel Onfray frappe fort ce mercredi dans une intervention qui secoue la sphère politique française : Emmanuel Macron, loin d’être un chef d’État à la hauteur, est qualifié par le philosophe de simple « vague sous-secrétaire » ! Une charge sans précédent qui interpelle alors que la France traverse une crise politique, sociale et institutionnelle profonde.

L’épisode du budget examiné au Parlement, à l’Assemblée puis au Sénat, incarne cette paralysie. Le texte, une fois tricoté, revient indécis, menant inévitablement vers une impasse qui pourrait déboucher sur des ordonnances ou une loi d’exception. Face à ce blocage, Onfray ne cache pas son exaspération : « Nous n’avons pas un chef d’État, mais quelqu’un qui temporise, qui tergiverse, et navigue sans boussole claire ».

Cette dégradation du système républicain s’inscrit dans un climat d’affaiblissement de l’autorité et des institutions. Michel Onfray dénonce sans détour une politique dirigée par des ambitions personnelles, où l’élection présidentielle est devenue la préoccupation prioritaire des élus, au détriment de l’intérêt général.

L’opposition, coupée de la nation, ne fait qu’aggraver le malaise. Selon lui, les partis jouent des stratégies électorales cyniques, bloquant les compromis nécessaires, et la fracture entre élites et peuple n’a de cesse de se creuser. Derrière le théâtre politicien, la France avance à tâtons vers un avenir incertain.

Parallèlement, la crise de la justice retentit avec la tragédie du jeune Élias, 14 ans, assassiné par deux mineurs multirécidivistes. Le témoignage poignant de sa mère met en lumière des dysfonctionnements judiciaires abyssaux. Elle confie avoir été traitée de « populiste » et accusée de mener une « croisade » contre les magistrats, révélant un système fermé, davantage soucieux de sa propre image que de la sécurité des citoyens.

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Onfray dénonce un système judiciaire opaque, coupé du peuple, où les décisions désarmantes favorisent la récidive et la liberté conditionnelle de délinquants dangereux, nourrissant la colère populaire.

Cette colère trouve un écho dans la lutte acharnée contre le narcotrafic, un « contre-État » qui s’étend et conteste l’autorité de la République. L’autorisation de sortie d’un grand narcotrafiquant incarcéré jusqu’en 2029 provoque un véritable tollé, mettant en lumière le paradoxe sécuritaire et judiciaire français.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin annonce des mesures drastiques, souhaitant aligner les régimes carcéraux des trafiquants sur ceux des terroristes. Mais la tension reste palpable : la police courageuse mais démunie affronte un ennemi tentaculaire face à une justice permissive et parfois corrompue.

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Dans ce climat explosif, Emmanuel Macron mise sur le retour d’un service national, présenté comme une réponse pour resserrer les liens nationaux. Le projet, volontaire et militaire, rémunéré, vise à mobiliser la jeunesse face aux menaces nationales et internationales.

Mais Onfray attaque cette initiative qu’il qualifie d’illusoire : un service volontaire ne concernera que des jeunes déjà intégrés, tandis que ceux qui construisent le chaos, les guetteurs des trafiquants par exemple, refuseront d’y participer. « L’ordre uniquement contraignant et obligatoire peut tenter de rétablir la cohésion retrouvée », clame-t-il, en proposant un service national obligatoire à l’instar du modèle suisse.

Sur la scène internationale, c’est aussi une France divisée qui s’expose. Michel Onfray revient sur les relations jugées délicates avec l’Algérie, évoquant la prise de parole récente d’écrivains engagés. Selon lui, la diplomatie frileuse actuelle, macroniste et corsetée, peine à dépasser les blocages historiques, alimentant un climat de guerre larvée entre les deux pays.

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Enfin, il clôt son intervention par une analyse philosophique de poids : à l’heure d’incertitudes majeures, il rappelle la leçon du « Discours de la méthode » de Descartes, symbole d’une pensée rationnelle et autonome, invitant la France à renouer avec l’esprit critique et la puissance de la vérité scientifique, loin des discours idéologiques délétères.

Michel Onfray pose ainsi un diagnostic sans appel : la France est en état de crise profonde, avec un chef d’État qui s’efface, des institutions en panne, une justice débordée et une société fracturée. L’heure n’est plus à la demi-mesure ou aux compromis, mais à la reconstruction urgente d’un État fort, crédible et au service du peuple.

Ce ton vif et sans concession est un signal d’alerte lancé haut et fort dans un paysage politique en ébullition, à moins d’un an et demi de la prochaine présidentielle. La question reste ouverte : quelle France voulons-nous réellement ?