François Asselineau a secoué le plateau avec des révélations alarmantes sur l’avenir de l’Union européenne. Lors d’une récente intervention, il a mis en lumière des manœuvres politiques inquiétantes qui pourraient transformer radicalement le paysage européen.
Loin d’être une simple analyse, Asselineau a averti que la désignation potentielle de Mario Draghi à la tête de la Commission européenne pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la France et ses alliés. Selon lui, cette nomination, envisagée par le Conseil européen, n’est pas seulement une question de politique interne, mais une menace directe à la souveraineté française.
Il a souligné que l’ascension de Draghi, ancien président de la BCE et homme de Goldman Sachs, pourrait mener à une Europe unie sous un régime autoritaire. Les implications sont énormes : si l’Union européenne devient un État, la France pourrait perdre son siège à l’ONU. Un coup dur pour une nation qui a toujours joué un rôle clé dans les affaires internationales.
Asselineau a également évoqué la montée de la droite populiste et eurosceptique, qui, selon lui, pourrait bouleverser l’équilibre des pouvoirs au sein du Parlement européen. Avec une poussée significative depuis 2019, ces forces pourraient bien s’opposer à des décisions cruciales concernant l’avenir de l’Europe.
Le ton était grave alors qu’Asselineau mettait en garde contre le danger d’une gouvernance centralisée, dominée par des figures comme Draghi. Les citoyens français, dit-il, ne sont pas pleinement conscients des enjeux en jeu, et l’urgence de la situation ne saurait être sous-estimée.
En somme, les déclarations de François Asselineau jettent un froid glacial sur la scène politique européenne. Les prochaines semaines seront cruciales pour l’avenir de l’Union et la position de la France sur la scène mondiale. La vigilance est de mise, car les décisions prises aujourd’hui pourraient résonner pendant des générations.
