MARION MARÉCHAL PULVÉRISE DUHAMEL SUR L’IMMIGRATION CLANDESTINE
Dans une intervention explosive, Marion Maréchal a attaqué Benjamin Duhamel sur la question brûlante de l’immigration clandestine, suscitant un vif débat en France. La récente abrogation de la circulaire Vals, remplacée par la circulaire Retaillo, a été au cœur de ses critiques.
La circulaire Vals, mise en place en 2012, avait permis la régularisation de milliers d’étrangers en situation irrégulière. En revanche, la nouvelle circulaire impose des critères stricts, exigeant une présence minimale de 7 ans en France et la maîtrise du français. Maréchal a dénoncé cette évolution, plaidant pour une politique d’immigration zéro régularisation.
Elle a affirmé que la perspective de régularisation constitue un appel d’air à l’immigration clandestine. “Si vous entrez illégalement en France, vous ne devriez jamais espérer obtenir des papiers”, a-t-elle déclaré, s’inspirant de la politique australienne du “No Way”.
Maréchal a également évoqué les statistiques alarmantes concernant la criminalité liée à l’immigration. En 2023, 77 % des suspects de viol à Paris étaient d’origine étrangère, selon la préfecture de police. Ces chiffres, a-t-elle souligné, illustrent un lien inquiétant entre immigration et insécurité.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retaillo, a salué le combat du collectif identitaire Némésis, renforçant ainsi la position de Maréchal. Ce collectif, souvent critiqué pour ses positions controversées, se concentre sur la sécurité des femmes face à l’immigration.
La tension monte alors que les débats politiques se durcissent autour de l’immigration. Maréchal appelle à une prise de conscience collective, affirmant que la France doit prendre ses responsabilités face à une situation qu’elle juge intenable.
Les enjeux sont clairs : la régularisation des clandestins est désormais un sujet brûlant. Les décisions politiques à venir pourraient changer la donne, alors que la France se trouve à un carrefour décisif concernant son avenir en matière d’immigration.
Maréchal a conclu en appelant à une politique ferme et déterminée. “Nous devons agir maintenant”, a-t-elle averti, soulignant l’urgence d’une réponse claire et efficace face à l’immigration clandestine. La France doit se préparer à des choix difficiles dans les mois à venir.