MARINE LE PEN DÉTRUIT MATHILDE PANOT APRÈS SES PROPOS ANTI-ISRAÉLIENS
Dans une intervention explosive au sein de l’Assemblée nationale, Marine Le Pen a fermement condamné les propos de Mathilde Panot, qui ont été perçus comme une minimisation des atrocités commises par le Hamas. Le 7 octobre 2023, Le Pen a rappelé les horreurs récentes en Israël, évoquant des pogroms qui ont coûté la vie à des milliers d’innocents, dont des femmes et des enfants. Elle a dénoncé l’indifférence de certains élus face à ces crimes, affirmant que leurs discours portent atteinte aux valeurs humaines fondamentales.
« Ceux qui soutiennent l’insoutenable et en relativisent la gravité sont complices de la barbarie », a-t-elle déclaré, en réponse à des commentaires de Panot qui ont refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Le Pen a insisté sur la nécessité d’un soutien indéfectible au peuple israélien, tout en appelant à une vigilance accrue contre l’antisémitisme en France.
Le climat politique s’est intensifié alors que les tensions entre les partis se cristallisent autour du conflit israélo-palestinien. Le bilan tragique de plus de 1830 morts depuis le début des attaques du Hamas, dont 8 Français, pèse lourdement sur les débats. Le Pen a rappelé les atrocités, notamment la découverte de bébés israéliens tués, pour illustrer l’urgence d’une réponse ferme contre le terrorisme.
Les propos de Panot, qui ont été perçus comme une défense des actions du Hamas, ont suscité une onde de choc au sein de l’Assemblée. Le Pen a déclaré : « Il est inacceptable de parler de complot ou de justifier l’injustifiable. » Elle a également souligné que la lutte contre l’islamisme est une priorité majeure de notre époque.

Le gouvernement, sous la direction de Gérald Darmanin, a déjà renforcé la protection des lieux communautaires juifs en France, affirmant que toute agression contre un Juif est une agression contre la République. Le climat de tension et d’urgence ne fait que croître, alors que les appels à la paix et à la justice se heurtent à des discours de haine et de division.
Les acteurs politiques doivent maintenant faire face à leurs responsabilités. Le Pen a averti que ceux qui continuent à défendre des positions extrêmes devront rendre des comptes, politiquement et potentiellement devant la justice. La situation est critique, et le besoin d’unité face à la barbarie n’a jamais été aussi pressant.